21 avril 2009
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Les amateurs de grande croisière autour du monde savent bien qu’il est interdit de photocopier des cartes marines du SHOM. En revanche, la Defense Mapping Agency
(DMA) américaine le permet.
On peut donc se procurer légalement des photocopies des cartes US, ce qui revient bien moins cher que des cartes originales.
Voici l’adresse d’une boite spécialisée aux USA :
Tides End Ltd
Bellingham Chart Printers Div.
P.O. Box 1728
Friday Harbor
WA 98250, USA
Son site Web
BF, 2002
5 avril 2009
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A bord de Croque Pomme, le cuistot ce n'est pas Frédérique, mais François !
Voici donc une de ses bonnes recettes, toute simple, et si facile à faire par tous les temps :
Coquillettes au thon :
-
250 g de coquillettes
-
2 petites boîtes de thon à l'huile
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mayonnaise
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sel, poivre, persil
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Faire cuire les pâtes dans l'eau bouillante salée.
-
Egoutter et laisser refroidir.
-
Emietter le thon, ajouter les pâtes, puis la mayonnaise, sel, poivre et persil.
-
Servir bien frais.
Evidemment, avec du thon pêché du jour, c'est pas mal aussi !
Et si vous êtes du côté de l'Alaska, pensez au saumon...
Bon appétit !
4 avril 2009
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Du 11 juin au 5 juillet 1998 : de Moorea à Honolulu.
Une traversée tranquille et sans problème majeur. Pot au noir de deux jours, avec un seul gros grain d’une heure. Juste à ce moment bien sûr, rupture de la drisse de grand voile. Il fallut monter
en tête de mat, ce qui ne fut pas évident...
Honolulu, ville sans grand intérêt, si ce n’est l’avitaillement et le matériel nautique. Achat d’un radar et d’un système weather fax couplé sur la BLU. Nous pensions être tard dans la saison,
alors qu’il s’avère que la meilleure période pour monter vers le Nord (Alaska ou Vancouver) est le mois d’août.
L’anticyclone s’établit très loin au Nord et fait remonter toutes les dépressions (les extra-tropicales sont parfois très rudes) au-delà de la «courbure» des îles Aléoutiennes. Phénomène que l’on
pourra vérifier également pour le voyage de retour.
Du 25 juillet au 20 août 1998 : de Honolulu à Valdez.
Vingt-six jours de près plus ou moins serré. L’anticyclone fut toujours au rendez-vous mais très décalé vers l’ouest, ce qui nous donna uniquement du vent de N à NE !
Excepté trois journées un peu difficiles vers le 40è N, le vent fut toujours inférieur à 7 Beaufort et la mer toujours relativement maniable.
Nous voulions atterrir sur Kodiack. Malheureusement, la météo était franchement plus mauvaise, à 200 M vers l’ouest; ce qui fait que nous allâmes directement sur Valdez.
Sentiments inoubliables, à 100 M de la côte, la vision des immenses glaciers de Resurection Bay, des pics enneigés sur tout l’horizon, des nuits très claires, légèrement marbrées par les aurores
boréales ; notre premier saumon à la ligne de traîne, et puis 24 heures plus tard, notre entrée dans Prince William Sound parmi les growlers.
De septembre 1998 à août 2000 : Prince William Sound, Valdez.
Imaginez une baie de 100 M de diamètre, pratiquement complètement fermée, avec des centaines de mouillages praticables de juin à début septembre. Nous « traînons » une quinzaine de jours dans
quelques mouillages.
Les loutres marines sont omniprésentes, par groupes de deux à plusieurs douzaines, cramponnées aux grandes algues pour éviter de dériver. Une pierre posée sur leur ventre, elles cassent leurs
coquillages dessus, faisant des loopings dans l’eau pour enlever les débris...
Elles ne semblent pas effrayées par notre présence mais nous fixent du regard lorsque nous passons a proximité.
Les aigles à tête blanche (Bald Eagles) pêchent, imperturbables eux aussi face à notre présence. Leurs postes d’observations semblent être les sommets des petits icebergs (quatre à six
mètres).
Les ours bruns, ou noirs, sont également partout. Des odeurs très musquées nous accompagnent souvent dans nos balades à pied. Ils nous sentent certainement avant qu’on puisse les voir. Leur vue,
par contre, est très mauvaise ; aussi vaut-il mieux faire beaucoup de bruit lors de nos déplacements, pour ne pas les surprendre, et ne pas emmener de nourriture, pour ne pas les attirer.
Des groupes de phoques se laissent dériver sur les gros growlers, comme des touristes sur leurs matelas. Leurs regards sont presque humains, avec une lueur d’étonnement au fond des yeux.
Mi-septembre, il est temps d’aller inscrire notre fille Sarah à l’école. Nous devons également nous préparer pour l’hiver dans le petit port de pêche de Valdez.
Rester au mouillage l’hiver, même dans la baie de William Sound, est très difficile à réaliser.
Quelques mouillages pourraient s’y prêter, mais il faut bien préparer son coup. C’est six à huit mois d’isolement total, sans possibilité de se déplacer. Donc réserve alimentaire, gas-oil...
Plus tous les impondérables que nous ne connaissons pas (par rapport au froid ). Ce ne serait plus le but du voyage...
Le matin, il y a de la gelée blanche sur les pontons et les sommets alentours sont de plus en plus blancs, de plus en plus bas. Tout le cockpit et la descente de Satyavan sont bâchés de façon à
faire une sorte de sas pour se déneiger et se déshabiller.
Fin octobre, la neige est toujours timide mais le froid beaucoup plus intense. Avant que tout soit recouvert, tout le monde en profite pour faire de grandes parties de patins à glace sur le lac
voisin.
Le 30 octobre, les parties de halloween s’accompagnent d’énormes flocons de neige. (“it snows hamburgers”). En fait, ce sont des amas de flocons agglutinés de cinq à six centimètres de
diamètre.
Au petit matin, il y a 1,20 m de neige sur le pont. Tout est transformé, le blanc du sol est plus lumineux que le ciel gris, les couleurs ont disparu. Il y a un véritable carrousel de chasse-neige
dans la ville (3500 habitants). Seules les routes sont déneigées, il devient difficile et dangereux de se déplacer à pied.
En décembre, je passe mon permis de conduire (15 $), et nous achetons un gros van avec un bon chauffage. Nous pourrons y dormir, tout emmitouflés, lors de nos balades à l’intérieur du pays...
Au second hand du coin ["second hand store", magasin d'occasions (ndlr)], nous achetons tout notre matériel : skis de fond, de randonnée, peau de phoque (en plastique) etc. Le tout pour 50
$ et nous voilà parés…
(à suivre...)
Daniel et Catherine - Satyavan
Août 2002
2 avril 2009
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Le salon nautique a eu lieu du 26 au 29 mars place To'ata, à Papeete.
Quelques bateaux à moteurs, des pirogues, des jet-skis, mais pas (correctif :) peu de voiliers en vente sur ce salon : en effet, Nicolas
précise (voir son commentaire en bas de cet article) qu'un catamaran sportif habitable, le Ekolo'kat 34, était en exposition.
Les bases de charter locales proposaient des balades en catamarans, gratuites.
Le salon en photos :
Va'a et balanciers
Balade et pêche sur le lagon
Kayaks, et pirogue en plastique
Kayaks équipés pour la pêche
Pirogues "familiales", pratiques pour aller au motu, pour pêcher, etc.
Pirogues en bois, avec figures de proue et de poupe sculptées.
31 mars 2009
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10:04
L’AVP dispose de ressources humaines et financières.
Les membres de l’association sont de trois types :
- les membres actifs et adhérents (personnes qui entrent dans l’association moyennant une cotisation annuelle de 3000 FCP),
- les membres d’honneur (personnes dispensées de payer la cotisation annuelle),
- et les membres bienfaiteurs (personnes payant volontairement une cotisation annuelle d’un montant laissé à leur initiative).
Parmi ces membres, six représentants sont élus pour un an. Ils forment le Bureau de l’AVP : président, vice-président, trésorier et trésorier adjoint, secrétaire et secrétaire adjoint.
Quant aux ressources financières de l’association, elles proviennent presque exclusivement des cotisations des membres. Il est envisagé de demander une subvention au gouvernement.
28 mars 2009
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13:37
Le pavillon de l'Association
Hissé à la barre de flèche babord, il permet aux membres de se reconnaître
Vous voulez avoir ce beau drapeau ? Pour cela vous devez :
-
être adhérent à l'association AVP
-
l'acheter 1 200 fcp auprès de Michel (boutique Tahiti Yacht Accessoire, à la Marina Taina)
-
ou envoyer un chèque de 1 200 fcp (portant au dos la mention "Achat du pavillon") à la boîte postale de l'AVP :
BP 43442
Fare Tony
98713 Papeete
Tahiti
26 mars 2009
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13:05
Tous les ans en mars-avril, l’Assemblée Générale ordinaire de l’AVP se réunit.
Au cours de cette réunion, le Bureau présente son bilan pour l’année écoulée et fait le point des actions en cours. Éventuellement, on procède à l’élection de nouveaux membres du Bureau.
Sous l’autorité du Président, le Bureau conçoit le programme pour l’année à venir, puis le met en œuvre. Il se réunit tous les deux mois pour des bilans intermédiaires et des ajustements. C’est lui
qui définit et organise les activités de l’association, en liaison avec les membres volontaires.
Edité sous la responsabilité du Secrétaire, un Bulletin de liaison bimestriel permet l’information et la communication entre les membres de l’association. Il est diffusé aux membres de
l’AVP, à diverses autorité du territoire et à certains médias.
Vous retrouverez ici même, sur ce blog, des articles extraits des numéros antérieurs de ce Bulletin, ainsi que de nouveaux articles.
Inscrivez-vous à la newsletter pour être tenu au courant des nouveautés !
Vous êtes également les bienvenus si vous souhaitez adhérer à notre Association !
25 mars 2009
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21:46
Rejoignez-nous !
L'AVP, Association des Voiliers en Polynésie, est ouverte à tous les propriétaires de voiliers et de bateaux à moteur, résidants en Polynésie Française depuis au moins un
an.
Elle est ouverte également à tous les bateaux de passage qui souhaiteraient nous soutenir dans nos actions d'accueil et de protection.
Pour mettre en oeuvre toutes nos actions et faire en sorte qu'elles soient couronnées de succès, pour mettre en oeuvre aussi nos activités et d'autres à venir et faire en sorte qu'elles perdurent,
nous avons besoin du plus grand nombre de bonnes volontés, des idées de tous et de la créativité de chacun.
Propriétaires de voiliers résidants ou de passage en Polynésie, rejoignez-nous et apportez-nous votre concours !
Pour en savoir plus à propos de l'Association, voir :
Vous pouvez télécharger le formulaire d’adhésion : 
L'inscription est valable pour une durée d'un an.
La cotisation est fixée à 3 500 FCP par voilier (30 euros), 4 700 FCP avec le
pavillon.
Envoyez le formulaire d'adhésion au secrétaire :
AVP
BP 43442
Fare Tony
98713 Papeete
Tahiti - Polynésie Française
(Chèque libellé à l'ordre de Association AVP)
Ou déposez-le à la boutique de Michel, à la Marina Taina.
Vous pouvez nous envoyer vos photos, récits de navigation, bonnes adresses, recettes du bord, etc., sur notre adresse email avp.tahiti(at)gmail.com
24 mars 2009
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En vue de fédérer tous les voiliers naviguant en Polynésie, qu’ils soient résidants ou de passage, l’AVP a élaboré un programme d’actions ambitieux résumé par la
formule :
«Mieux se connaître et se faire connaître pour se faire reconnaître».
Pour mieux se connaître, il faut d’une part faire circuler l’information interne entre les membres de l’association, d’où la création d’un bulletin de l’association, d’une adresse
électronique et plus récemment d'un blog ; il faut d’autre part renforcer la cohésion entre les membres au moyen d’activités communes comme des sorties, des repas, des pots et des rencontres telles
que les puces nautiques.
Simultanément, se faire connaître concerne l’information externe au profit des non-membres.
L’AVP veut ainsi accroître sa force en recrutant de nouveaux adhérents parmi les voiliers résidents et en incitant les voiliers en migration annuelle à devenir membres bienfaiteurs. C’est dans ce
but qu’ont été réalisées des plaquettes d’accueil bilingues, des affiches et des fiches d’inscription qui sont mises en place un peu partout en Polynésie, y compris aux Marquises.
De plus, nous souhaitons gagner la bienveillance des médias et de la population : à cet effet l’AVP va rédiger et publier une Charte (sorte de code de bonne conduite envers l’environnement
lagonaire) et mener des actions médiatiques auprès de la presse écrite et des télévisions.
Enfin, nous voulons nous faire connaître des gens de bateau hors de la Polynésie en envoyant des articles aux revues nautiques françaises et étrangères, en créant un blog de l’AVPen français et en
anglais, et en nous présentant dans les sites Web de voile (associations de plaisanciers, Jimmy Cornell, rallyes autour du monde).
Par ces actions d’information interne et externe, nous visons à nous faire reconnaître comme un interlocuteur cohérent, puissant et incontournable :
auprès des commerçants du secteur nautique d’une part, pour lesquels l’AVP veut devenir un enjeu commercial qu’il faudra privilégier par des prix attractifs et des remises ;
auprès des autorités d’autre part avec qui nous souhaitons mettre en place des instances de concertation pour tous les problèmes nous concernant : notamment le mouillage du Maeva Beach, les tarifs
d’amarrage au Quai des Yachts, les excès de vitesse dévastateurs dans les marinas et dans le port, l’extension de la marina Taina, la réglementation des mouillages à Moorea et à Bora Bora, la
prolongation des visas pour les voiliers étrangers, etc.
22 mars 2009
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Selon nos statuts, l’objet de l’association est double : défendre les voiliers résidants,
et aider les voiliers de passage.
La défense des voiliers résidants comporte plusieurs volets :
-
Il s’agit d’abord de mieux nous défendre contre les soucis habituels qui hantent les skippers : problèmes mécaniques, problèmes de mouillage, problèmes
d’amarrage, problèmes d’équipage, etc. Pour cela, l’AVP permet une meilleure connaissance réciproque des propriétaires et par là favorise l’entraide.
-
-
Il s’agit ensuite de nous défendre contre les attaques menées sous diverses formes contre les voiliers : accusations non fondées (pollution par exemple),
interdictions de mouillage, hausses des tarifs d’amarrage, tracasseries administratives. A cet effet, l’AVP entreprend des campagnes médiatiques et, en cas de problème grave, représente les
voiliers en justice.
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Il s’agit enfin, tirant notre force de notre nombre et de notre union, de défendre nos intérêts, qu’ils soient pécuniaires ou de sécurité. Dans ce but, l’AVP
représente ses membres face aux prestataires de services aux voiliers et auprès des autorités nationales, territoriales et portuaires.
Aider les voiliers visiteurs consiste à :
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Les accueillir lors de leur arrivée en Polynésie et à Tahiti.
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Les informer sur les conditions matérielles de séjour dans nos mouillages et dans nos ports, les aider et les conseiller dans leurs démarches.
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Tisser des liens d’amitié entre skippers venus d’horizons très différents.
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