«Mieux se connaître et se faire connaître pour se faire reconnaître».
Pour mieux se connaître, il faut d’une part faire circuler l’information interne entre les membres de l’association, d’où la création d’un bulletin de l’association, d’une adresse électronique et plus récemment d'un blog ; il faut d’autre part renforcer la cohésion entre les membres au moyen d’activités communes comme des sorties, des repas, des pots et des rencontres telles que les puces nautiques.
Simultanément, se faire connaître concerne l’information externe au profit des non-membres.
L’AVP veut ainsi accroître sa force en recrutant de nouveaux adhérents parmi les voiliers résidents et en incitant les voiliers en migration annuelle à devenir membres bienfaiteurs. C’est dans ce but qu’ont été réalisées des plaquettes d’accueil bilingues, des affiches et des fiches d’inscription qui sont mises en place un peu partout en Polynésie, y compris aux Marquises.
De plus, nous souhaitons gagner la bienveillance des médias et de la population : à cet effet l’AVP va rédiger et publier une Charte (sorte de code de bonne conduite envers l’environnement lagonaire) et mener des actions médiatiques auprès de la presse écrite et des télévisions.
Enfin, nous voulons nous faire connaître des gens de bateau hors de la Polynésie en envoyant des articles aux revues nautiques françaises et étrangères, en créant un blog de l’AVPen français et en anglais, et en nous présentant dans les sites Web de voile (associations de plaisanciers, Jimmy Cornell, rallyes autour du monde).
Par ces actions d’information interne et externe, nous visons à nous faire reconnaître comme un interlocuteur cohérent, puissant et incontournable :
auprès des commerçants du secteur nautique d’une part, pour lesquels l’AVP veut devenir un enjeu commercial qu’il faudra privilégier par des prix attractifs et des remises ;
auprès des autorités d’autre part avec qui nous souhaitons mettre en place des instances de concertation pour tous les problèmes nous concernant : notamment le mouillage du Maeva Beach, les tarifs d’amarrage au Quai des Yachts, les excès de vitesse dévastateurs dans les marinas et dans le port, l’extension de la marina Taina, la réglementation des mouillages à Moorea et à Bora Bora, la prolongation des visas pour les voiliers étrangers, etc.